De passage pour quelques jours à Phnom Penh, en bus depuis Saïgon. Dès la frontière, les rondeurs de l'écriture et de la langue, la finesse des bâtiments, d'autres visages, d'autres façons d'être et de rencontrer l'autre. La misère, si soigneusement mise à l'écart au Vietnam, affleure dans les rues de la ville, côtoie les signes extérieurs de richesse. La machine économique semble s'être mise en marche sur les pas des voisins vietnamiens et thaïlandais. Trois jours c'est bien peu pour y comprendre quelque chose, juste assez pour réaliser que c'est une autre planète.
samedi 19 décembre 2009
Phnom Penh
jeudi 3 décembre 2009
On se croit loin
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